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Fort de La Revère

Aller hop on profite d’une journée de RTT pour faire une ch’tite balade sur les « hauteurs » d’Eze. La ballade n’est pas très longue puisqu’elle dure environ 3h, sans se presser. Au sommet, on aura le droit a deux récompense.

La première, celle de pouvoir observer le fort de la Revère. Il est entouré de douve profonde qui montre bien son caractère militaire. Aucun doute sur le fait que d’entrer la dedans serait bien compliqué. Seul une petite passerelle semble pouvoir y autoriser l’accès. Les vitres brisées montrent quand à elle que le lieux est à l’abandon. Et si on se retourne, on comprend vite pourquoi il était là…

Deuxième récompense, en tournant autour du fort on a une vue dégagé sur tous les environs. On peut observer de Monaco à Antibes pour le bord de mer; avec une note toute particulière pour le Cap Ferrat qui se livre tout entier. Et les amoureux de la montagne n’en seront pas de reste avec une vue sur les Alpes qui en cette saison ont revêtu leur manteau blanc si majestueux.

Pour conclure sur cette ballade je dirais qu’elle est facile d’accès, facile tout court et qu’elle offre malgrès tout un réel attrait de par la vue qui nous est offerte en haut. Testée et approuvée en somme :)

Désolé pour les photos, j’ai voulu testé celle de mon nouveau smartphone… Bon bah, c’est pas un vrai apareil photo ;). Je vous les livre quand même: Les Photos (moches :( )

Fort de La Revère sur le site des randoxygènes

Tête de Giarons

Tête de GiaronsAprès la rando raquette de la dernière fois, j’étais resté sur ma faim avec un circuit tout damé et complètement « apprivoisé ». Cette fois ci, nous décidons donc d’aller sur un circuit un peu plus « sportif » histoire que la dameuse n’ai aucune chance de passé ;).

Hop la décision est prise, ça sera la Tête de Giarons. 10km de marche, un peu plus de 700m de dénivelé, tout est dit, ca ne sera pas de tout repos. Après un court passage peu pentu, arrive un petit sentier en pleine forêt, plein de charmes mais… drôlement pentu ! Il nous a fallut plus d’une heure pour faire 1.5 km. Etrangement à ce moment la, personne n’avait froid… Par contre une fois sortie de la forêt, la récompense est là, une superbe vue sur Beuil et ses environs. Ce qui nous donne l’occasion de prendre queques photos et accessoirement de reprendre notre souffle.

Ensuite le paysage change radicalement, on se retrouve avec de grandes étendues de neige. Tout ce dont peut rêver un amateur de poudreuse. Quelques traces de raquettes et de ski nous montrent qu’il y a un peu de passage dans les environs. Après prêt de 500m d’ascension, c’est une pause bien mérité que nous prenons à l’ombre d’un arbre… Pour rapidement revenir au soleil ! C’est qu’il ne fait pas chaud une fois arrêté. En tout cas, c’est beaucoup plus facile de repartir le ventre plein ;)

Pour la fin de l’ascension, il n’y a pas de difficulté notable et on peut voir au loin les remontés mécanique de Valberg. Quelques randonneurs arrivent par la vallée opposée à la notre, mais aucun souci, il y a de beaucoup d’espace pour tout le monde. Arrivé au sommet, c’est le bonheur intégral avec un panorama imprenable sur les environs.

Le retour se fait par le même chemin qu’a l’aller mais beaucoup plus rapidement. On cherche toujours une explication à ce phénomène étrange… Le passage au milieu des arbres est un peu délicat à la redescente et sollicite beaucoup les chevilles et les genoux. Mais à cœur vaillant, rien d’impossible, donc tout va bien.

Au final, un corps bien fatigué et des images plein la tête, que demander de plus ?

Les Photos
Tête de Giarons sur le site des randoxygène

Circuit de Gianto

De la neige qui tombe en semaine… Le temps au beau fixe pour le week-end… L’appel de la montagne est grand !

Au menu, une randonnée raquette au départ du village de Saint-Dalmas-le-Selvage situé a quelques kilomètre de Saint-Etienne de Tinée. Avant de partir, on hésitait entre deux itinéraires de longueurs différentes mais avec le même départ. La circulation a décidé pour nous… A peine parti de la maison, on est dans les bouchons, nous faisant perdre 45 minutes. Bon ça sera les trajets courts du coup. La randonnée se fait une face nord et heureusement par ce que sinon il n’y aurait pas de neige. Par contre du coup on n’a pas vu le soleil de la balade…

Aller hop on arrive sur place, on s’équipe et c’est parti ! Il a neigé récemment et il y a une bonne couche de neige. Par contre et là, c’est un gros point négatif, la plus grande partie du trajet se fait sur une piste large et damé… Amateur de poudreuse et de neige qui s’enfonce sous vos pas, passez votre chemin. On est à la limite d’avoir une piste de ski, je n’aime pas ! Dommage juste au bord de la piste, 30 cm de largeur de poudreuse nous montre que ca aurait pu être un régal… Bon bref on monte par la grande piste. Le passage vers la randonnée version longue est agrémenté d’un joli panneau « DANGER RISQUE D’AVALANCHE », ce qui nous retire tous nos regrets. On monte donc jusqu’au refuge et on redescend. Mais au retour on a pris les sentiers de randonnée pédestre plutôt que ceux de randonnée raquette. Du coup, c’était un peu plus sauvage et moins « dégagé ».

Pas de photos pour cette fois, j’ai oublié l’appareil ^^.

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Le Haut Montet

Radar Aviation CivileAujourd’hui, petite ballade pas très longue (environ 2h30 de marche) au départ de Gourdon. Aucune difficulté à noter sur le parcourt. En sommes une « rando » tout à fait accessible à une famille.

Au sommet vous attends deux récompenses. La première, un gigantesque ballon de foot monté sur pilonnes (voir les photos). C’est en fait un radar de l’aviation civile (d’où les barbelés autour ;)). La seconde, une superbe vue. D’abord sur toute la côte, de Saint-Jean Cap Férat jusqu’à Mandelieu-la-Napoule en passant par les îles de Lérins. Ensuite pour ceux qui préfèrent les terres, sur tout le plateau de Caussols et ses environs.

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Le Mont-Saint-Martin

Aller, on reprend les bonnes habitudes avec une randonnée dans le pays cannois. C’est au Mont-Saint-Martin que ça se passe.
C’est un circuit de 3h30, donc idéale pour se remettre en jambe. Le plus gros du trajet se fait sur des DFCI (route de Défense des Forets Contre les Incendies) donc c’est large et très praticable. Une bonne partie est à l’ombre, et heureusement par ce que le soleil est au rendez vous. On ne penserait pas être fin octobre.

Le trajet comporte un piège d’orientation dans lequel nous sommes bien sur tombés… Histoire de rallonger un poil la ballade. Malgré des instruments à la pointe (GPS ^^) nous sommes donc parti sur le mauvais chemin. Erreur ! On a du traverser des ruches d’abeille. Et ce qui devait arriver, arriva, l’une d’elle attaqua. Enfin bref, pour continuer, ne voulant plus traverser les ruches on est parti à travers bois… Pour finalement rebrousser chemin et revenir là ou nous avions bifurqué à tort. Une flèche dessinée au sol était la pour nous montrer que nous ne sommes pas les seuls à nous être planté à cet endroit…

Au final une randonnée sympathique avec vu sur tous le pays cannois et la mer… Accessible en famille, si on évite les ruches bien sur…

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